Les maladies vectorielles
La transmission de maladies humaines et animales par certains groupes d'arthropodes est bien documentée et établie. En l'absence de vaccins, de médicaments et d'autres moyens efficaces pour gérer l'incidence de nombre de ces maladies, la lutte antivectorielle demeure la principale intervention de protection de santé publique.
Les insectes vecteurs de maladie les plus courants sont les moustiques. Ils sont associés à la transmission de maladies comme le paludisme, la fièvre jaune, et la dengue, à diverses maladies encéphalitiques et à celles des vers parasites responsables de la filariose.
Il existe aussi d’autres vecteurs de maladie, dont la mouche tsé-tsé, la punaise triatomine, le phlébotome ou mouche des sables, la simulie ou moucheron noir, les puces, les tiques et autres arthropodes.
Les techniques classiques de lutte antivectorielle comprennent la pulvérisation intra-domiciliaire à effet rémanent (PID), la pulvérisation spatiale contre les insectes volants, la gestion des gîtes larvaires et les larvicides, et l'utilisation de matériaux imprégnés d'insecticides comme les moustiquaires.
Les insectes vecteurs de maladie les plus courants sont les moustiques. Ils sont associés à la transmission de maladies comme le paludisme, la fièvre jaune, et la dengue, à diverses maladies encéphalitiques et à celles des vers parasites responsables de la filariose.
Il existe aussi d’autres vecteurs de maladie, dont la mouche tsé-tsé, la punaise triatomine, le phlébotome ou mouche des sables, la simulie ou moucheron noir, les puces, les tiques et autres arthropodes.
Les techniques classiques de lutte antivectorielle comprennent la pulvérisation intra-domiciliaire à effet rémanent (PID), la pulvérisation spatiale contre les insectes volants, la gestion des gîtes larvaires et les larvicides, et l'utilisation de matériaux imprégnés d'insecticides comme les moustiquaires.